Les histoires que je me raconte
Toi aussi, tu t'es déjà fait un film sur cette personne, sur cet événement et quand tu es allé parler avec tu t'es rendu compte que tu t'étais raconté de grosses histoires dans ta tête qui n'avait pas logique, mais qui t'on fait tourner en rond encore et encore.
À qui profite cette prise de tête, pourquoi se faire des films, alors qu'il suffit d'aller voir, parler à la personne et lui dire ce qu'on pense, ce qu'on ressent!?
Des parties de nous aiment nous limiter, nous enfermer dans un labyrinthe pour être sûr qu'on ne sortira de ce schéma, et qu'on prendra notre envol, car ça veut dire arrêter de nourrir un événement, le pouvoir qu'une personne a sur nous.
Bizarre, car c'est ce qu'on cherche à être libre, reprendre son pouvoir personnel et sortir de l'emprise, du conditionnement que des personnes ont eux sir nous et pourtant une partie de nous continue à leur donner du pouvoir à croire que c'est vrai, et à nourrir cette illusion.
Oui chaque fois qu'on se raconte une histoire, on nourrit ce lien, si vous êtes écrivain, conteur, ça peut être un stimulant, autrement, c'est un enferment qui vous limite et retient votre potentiel et vous êtres simplement bloqués dans l'espace-temps, et ça vous demande d'être conscient, quand cela vient, de vous poser et de comprendre qu'est ce qui vous fait retourner dans cette imagination, ce film qui vous limite, alors que vous auriez simplement à aller vivre le moment.
Si vous avez envie de sortir de là, arrêter de vous faire des films et comprendre d'où ça vient pour la prochaine fois et comment accueillir la partie de vous qui fait ça et lui apprendre à fonctionner autrement.
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